Thèmes

Algeria Algerie Argelia Djazair Economie al alg algeria algerie alzir animation annonce

Rubriques

>> Toutes les rubriques <<
· Marketing (18)
· Management (11)
· Economie (7)

Rechercher
Derniers commentaires

j'aime l'exercice
Par Anonyme, le 12.03.2023

j'aime information
Par Anonyme, le 14.11.2021

ou peut-on trouver le corrigé de ces 2 exercices?? m erci
Par N'guessan, le 30.11.2020

ou peut-on trouver le correctom
Par Anonyme, le 20.08.2019

j'offres des prêts allant de 3.000€ à 800.000€ contactez- nous uniquement par mail
Par Carlos8taylor@live, le 16.04.2019

Voir plus

Articles les plus lus

· Force de vente
· Techniques de négociation
· Relations économiques internationales
· Management industriel
· Management de la Qualité

· Exercices sur le seuil de la rentabilité
· Force de vente 3
· le Toyotisme (Ohnisme)
· Force de vente 4
· Force de vente 2
· Programmation linéaire 3
· Examen : l'environnement de l'entreprise
· Manuel du comportement du consommateur
· Audit
· Economie de l'entreprise

Voir plus 

Statistiques

Date de création : 11.02.2011
Dernière mise à jour : 14.02.2011
47 articles


Economie

Economie de l'entreprise 5

Publié le 14/02/2011 à 11:16 par argelia Tags : Algerie algeria Argelia alzir Djazair cezair Entreprise econ

NB : coût Fixe = 400 DA quand la quantité est de 0

Interprétation :

1/Toute production inférieur à 3 va générée des pertes : Coûts > Recettes (l’entreprise doit absolument dépasser le seuil de 3)

2/ quand la production atteint le niveau 3 CT=RT c’est le premier point mort .

3/ les niveaux de production >3 et <10 (entre 3 et 10) occasionnent la création de Valeur Ajoutée( VA)

RT>CT (VA= CA -consommation intermédiaire).

4/ les niveaux de production 6 et 7 sont des niveaux qui génèrent une VA optimum.

5/ un niveau de production (commercialisation) = 10 provoque une situation ou CT=RT (les entreprises qui ne maîtrisent pas les coûts disparaîtrons du marché )donc c’est le 2em point mort

6/ toutes production > 10 implique CT>RT donc des pertes.

Le financement de l’exploitation et le crédit

A / Définition

Le financement de l’exploitation et le crédit, est une expression de confiance qui s’achète avec une promesse de remboursement.

On peut dire donc que :

CREDIT = CONFIANCE+PROMESSE +DELAIS

B / objet du crédit :

- financer de l’investissement : (crédit d’investissement )(facteurs de production fixes)

- financer l’exploitation : (crédit court terme)(fonctionnement de l’entreprise)( consommation de facteurs de production variables ,matières premières).

Le 16/04/2005

C / les Crédits d’exploitation :

1- Crédits par Caisse

2- Crédits par Signature

1/ crédits par Caisse :

c’est l’ensembles des crédits qui mettent à votre disposition des montants financiers immédiats.

Il consiste à créditer le compte d’un client de la banque.

A / Facilité de Caisse

Il est destiner à pallier (combler) un décalage momentané entre les besoins et les disponibilités de trésorerie de l’entreprise.

B / Découvert Bancaire

Le principe est le même que la Facilité de Caisse ; la différence réside dans les délais qui peuvent être de plusieurs mois ,maximum une année .

C / les Crédits Saisonniers ou de Campagne

Ils sont destinés à financer des activités saisonnières. Il ya un décalage entre l’engagement des dépenses et la réalisation des recettes.

1-1/ Crédits par Caisse Spécifiques

il s’agit de crédits comportant des garanties réels « crédits contre garantis ».

a/ avances sur Marchés

C’est un découvert qui est accordé moyennant le nantissement (hypothèque) du marché au profit du banquier (prêteur).

B / avance sur Facture

C’est un découvert qui est accordé sur présentation de factures, ou de bons de livraisons domiciliés au niveau de la banque.

C / l’escompte Commerciale

C’est l’opération par laquelle le banquier met à la disposition d’une entreprise le montant d’un effet de commerce sans attendre l’échéance

2/ crédits par Signature ou Crédits Indirectes :

c’est la garantie de la banque.

Le banquier aide son client à retarder le règlement dune dette grâce à l’engagement de sa banque.

A / l’Aval

Le banquier en sa qualité d’avaliste signe un effet de commerce accepté par son client pour garantir le paiement de cet effet à son échéance.

Ali Client CPA Traite Kamel

 

Fournisseur

Traite avalisée par le CPA et signé par les 3 personnes

B / Caution

Le banquier délivré un engagement par écrit pour garantir son client.

En Algérie, la Caution concerne souvent l’administration fiscale, Douanière et les Marchés Publiques.( c’est un effet de paiement vecteur de crédits)

C / Crédits par acceptation

Le Fournisseur exige en contrepartie d’un règlement à terme la garantie d’une banque (acceptation de la banque) ( c’est le vecteur du fournisseur)

D / Crédits d’Investissement

C’est le crédit du moyen et long terme

Recours à la banque.



Economie de l'entreprise 4

Publié le 14/02/2011 à 11:15 par argelia Tags : Algerie Algeria Argelia Alzir Djazair cezair Economie enreprise

Le 12/02/2005

Théorie du Producteur

I/ la Fonction Production

Elle à pour finalité l’étude des relations qui existent entre les quantités produites (production) et les facteurs de production utilisés.

 

produit

 

2

1

A B F.P(coût prod)

 

F.P Fixe

400 F.P Fixe ou (coûts fixe)

 

A B C produit

1/ Définition de la Fonction de Production :

la Fonction de Production correspond au processus arrêté par le spécialiste qui décrit toutes les manières de produire un Bien.

P= F(x,y,z)

- x,y,z = Facteurs de production fixes ou variable.

produit

produit

 

100

0 10

F.P(coût prod) F.P(coût prod)

II/ Notions de Productivité :

La productivité est le rapport entre le volume de la production et les quantités de facteurs de production utilisés.

Productivité = Volume de production/ Facteurs de production utilisés = %

La productivité mesure le niveau de performance d’une entreprise.

a/ la Productivité Standard :

elle correspond à la productivité idéale c’est à dire à la situation ou :

- la productivité est optimum

- coûts de production minimum

b/ Productivité Globale :

elle est déterminée à partir de la valeur marchande de la production et de la valeur marchande des facteurs de production

PG= valeur de production /valeur de coûts fixes ou variable (facteurs de production)

Exemple :

Soit un volume de production optimum (idéal) horaire de 100 unités.

- valeur marchande de 50.000 DA

- des coûts globaux idéaux (standards) de 25.000 DA

donc, la Productivité idéale de référence est de : 50.000/25.000= 2

c/ Productivité d’un Facteur de Production :

elle est le rapport entre le volume physique de la production et le volume physique du facteur de production utilisé.

Exemple :

Une entreprise produit 200 unités /jour d’un Bien X grâce au recrutement de 20 salariés.

Donc on a 200/20=10 unités /salarié/jour.

d/Situation de perte de productivité :

* Productivité Globale = valeur de la production/ valeur des facteurs de production(coûts de production)

exemple précédent 50.000/25.000=2 (productivité de référence)

1er Situation :

quand la valeur de production diminue et les facteurs de production restent fixes

exemple :30.000/25.000=1,2

donc il ya perte de productivité donc perte de Valeur Ajoutée

2eme Situation :

quand la valeur de production diminue et les facteurs de production augmentent :

exemple :30.000/50.000=0,6

3eme Situation :

quand la valeur de production reste fixe et les facteurs de production augmentent

exemple :50.000/50.000=1

le 20/02/2005 achoura

le 26/02/2005

E/ Situation de gains de productivité :

Productivité Globale = valeur marchande de production/ valeur marchande des Facteurs de production( fixes et variables)

Production

Facteurs de production

Valeur Ajoutée

Productivité

T1 01.03.04

100 000

70 000

30 000

1,42

T2 01.12.04

120 000

72 000

48 000

1,90

T3 01.01.05

100 000

65 000

35 000

1,53

Les Gains de productivité se réalisent dans les conditions suivantes :

1er situation :

la production augmente plus vite que les facteurs de production

exemple :

au 1er DEC 2004 la valeur de la production est passer de 100 000 à 120 000 et a nécessiter la consommation de 72 000

2 eme situation :

la production reste constante et la consommation des facteurs de production baisse.

A T3 au 01.01.05 la production est de 100 000 et les facteurs sont à 65 000

Le 05/03/2005

La loi des Rendements

A/ Généralités

La loi des rendements affirme que : « toutes choses restant égales, une ou plusieurs doses de facteurs de production variables appliqués à un ou plusieurs facteurs fixes ont un rendement qui est :

- croissant

- Atteint l’optimum

- Puis Décroissent

Exemple :

Hypothèse : soit un facteur de production Fixe : (01) un hectare de terre et un facteur variable semence de pomme de terre

Soit le prix du quintal de semence est de 5 000 DA et supposant que le prix du quintal sur le marché est de 1 000 DA alors que le prix du marché du kilo de pomme de terre est de 4,5 DA

Dose de facteur Variable

A

Production Totale

B

Rendement

B/A

Rendement marginal

Recette

Totale

Coûts de produ

ction

Prod

uctivité

Valeur

Ajoutée

Coûts de production

Par KG

1qu=1000

kg

1 quintal

12

12 qu /hec/1f var

12

12 000

5 000

2,5

7 000

4,1

2 quintaux

26

13 qu /hec/1f var

14

26 000

10 000

2,6

16 000

3,8

3 quintaux

44

14,66 qu /hec/1f var

18

44 000

15 000

2,9

29 000

3,4

4 quintaux

60

15 qu /hec/1f var

16

60 000

20 000

3

40 000

3,3

5 quintaux

70

14 qu /hec/1f var

10

70 000

25 000

2,8

45 000

3,6

6 quintaux

72

12 qu /hec/1f var

2

72 000

30 000

2,4

42 000

4,1

7 quintaux

70

10 qu /hec/1f var

-2

70 000

35 000

2

35 000

5,0

1/le rendement des Facteurs Variable :

il s’obtient par le rapport de la production totale à la quantité de Facteurs Variables utilisés

rendement= Production Totale / Facteur de Production Variable utilisés

La baisse du rendement ne signifie pas la baisse de la production, mais signifie augmentation des coûts de production

Le 12/03/2005

2/Rendement Marginal :

il correspond à la production additionnelle qui résulte de l’utilisation d’un facteur de production Variable supplémentaire .

quel est le rendement occasionné par une unité ?

3/ Economie d’Echelle

elle correspond à la situation ou les Coûts de production atteignent leur niveau le plus bas

B/la Théorie de la Production :

1/ notions de Coûts de Production :

au sens économique le coût de production peut être défini comme les FLUX D’entrée (IN PUT) ,qui sont consommés pour produire des Biens et Services qu’on appel des (OUT PUT )

Entreprise

tous les flux IN PUT

 

OUT PUT

les coûts de production peuvent être exprimés en flux physiques ou en flux monétaire

a/ Coûts en termes de Flux Physiques :

ils correspondent à l’ensemble des éléments qui ont été nécessaires à la réalisation de la production (matières premières, heures de travail, heures d’usures de la machine, consommation d’énergie…etc.)

b/ coûts en termes de Flux Monétaire :

ils correspondent à la valorisation des flux physiques.

Le 19/03/2005

B/ Coûts Comptables et Coûts Economiques

Il peut y avoir deux façons d’appréhender les coûts de production :

1/ Coûts Comptables

Généralement, les coûts de production sont évalués en termes comptables, c’est à dire, les coûts relatifs aux différents facteurs de production utilisés.

Les Coûts Comptables sont donc des Coûts Constatés au moment de l’acquisition du facteur de production.

2/ les Coûts Economiques

ce sont les Coûts d’opportunités, les économistes préfèrent le concept de Coûts d’Opportunités correspondant aux moyens Financiers qu’il faut engager pour renouveler les facteurs de production consommés .

on parle alors de coûts de Réapprovisionnements

- en période de stabilité des prix, il n’y a pas de différence entre coûts comptables et coûts économiques.

Comme les prix sont souvent variables même en l’absence d’inflation(augmentation durable des prix de tous les biens).

L’entreprise à intérêt à considérer les coûts de Réapprovisionnements

C/ les Différents Coûts de Production

- coûts Fixes supportés par l’entreprise

- Coûts Variables

Le 26/03/2005

A / les coûts Fixes

Ils sont indépendant du volume de la production, c’est à dire que l’entreprise supporte ces coûts quelque soit le niveau de production.( l’entreprise à intérêt à compresser les coûts Fixes).

B / les coûts Variables :

Ils sont fonction du volume de production, ils évoluent dans le même sens que la production .

 

coûts variables

350 Z

80 Y

40 T

A B E Production

*On suppose donc que les coûts Variables sont une fonction continue de la production.

Les coûts Variables de production d’un volume de bien dépendent :

- de la quantité de la production

- de la quantité des facteurs de production utilisés

- de la qualité des facteurs utilisés

- des prix de ces facteurs

donc le Coût Variable Total :C.V.T = EZ

1-b/ Coût Variable Marginal (C.V.M)

il correspond au coût variable supplémentaire occasionné par l’augmentation d’un volume de production.

· C.V Moyen = C.V.T / Quantité produite

· Productivité = Quantité produite / C.V.T

· C.V. Marg = C.V.T2-C.V.T1

Quantité Produite

C.V.T

C.V.M

.C.VMarg

Productivité

0

0

0

0

0

1

40

40

40

1/40=0,025

2

60

30

20

2/60=0,033

3

70

23

10

3/70=0,043

4

100

25

30

4/100=0,04

5

150

30

50

5/150=0,033

Graphe

La productivité évolue dans le sens inverse du coût Marginal :

- diagnostic

- evaluation de la situation

- Réaction

C / Coûts Fixes

Ils sont considérés par l’entreprise comme des coûts incompressibles, c’est à dire des charges Fixes que l’entreprise supporte quelque soit le volume de la production.

- les coûts Fixes sont considérés comme coûts qui se renouvellent régulièrement .

- ils se constituent des éléments multiples comme par exemple : les loyers, les intérêts d’emprunt, les assurances, les salaires,…

1/ Coût Fixe Total (C.F.T)

 

C.F.T

C.F.T

 

Q1 Q2 Q3 Qté produite

LE C.F.T est indépendant des quantités produites.

2/ Coût Fixe Moyen (C.F.M)

il correspond au coût Total rapporté aux quantités produites.

C.F.M= C .F.T/ Production

Le 02/04/2005

D / Coûts Totaux ou Globaux

1/

En ce qui concerne les coûts globaux ou totaux on utilisera la notion de charges totales

Coûts totaux : CT= CFT+CVT= Charges Totales

CVT : les charges directes ( qui résultent de la production directement)

CFT : les charges indirectes (ils ne résultent pas directement de la production mais ils sont supportés par celle-ci )

2/ en effet la distinction principale dans le domaine des charges, se rapporte au CARACTERE VARIABLE OU FIXE DES CHARGES ( l’entreprise doit minimiser les charges fixes CAD les charges incompressibles)

3/ ainsi donc les coûts globaux (charges totales) englobent les charges :

- résultants de la consommation des facteurs de production variables (CVT) ex : matière première

Ecrire un commentaire


Economie de l'entreprise 3

Publié le 14/02/2011 à 11:14 par argelia Tags : Algerie Algeria Argelia alzir Djazair Cezair Economie Ent

· soit une situation initiale ou la Demande est représentée par la courbe (DD) et l’Offre représentée par la courbe (OO).

· Le prix d’Equilibre s’établi alors au point (P) qui correspond au prix de marché (A)

· Soit une nouvelle situation ou l’offre augmente ; la nouvelle courbe de l’Offre est représentée par (OO’).

· Dans ces conditions la nouvelle Offre par rapport à une Demande inchangée le nouve prix d’équilibre va s’établir à (p’) correspondant au prix de marché (B)

· Le nouveau prix de marché p’ est inférieur à P P’< P

3/ Demande Concurrentielle :

1/ Introduction

- elle caractérise la situation de déficit par rapport à une nouvelle Demande

- les demandeurs voulant acquérir les quantités dont ils ont besoin vont accepté de payer un prix supérieur au prix initial.

2/ Représentation Graphique :

· soit une courbe de l’Offre (OO) et une courbe de Demande (DD)

· le prix d’équilibre s’établi à (P) qui correspond au prix de marché (A)

· supposant une nouvelle Demande (DD’) supérieur à (DD) et une Offre constante (OO)

· dans ces conditions un nouveau prix d’équilibre va s’établir à (P’) qui correspond au prix de marché (B)

· le nouveau prix de marché (B) est supérieur au prix initial (A) et c’est le nouveau prix d’équilibre

Exercice :

Supposant un prix consensuel du baril de pétrole à 32$et 35$ .

1/ que signifie un prix Consensuel ?

2/ quelles sont les situations de rupture de ce prix (supposer être prix d’équilibre) ?

3/ quels sont les mécanismes de retour au prix d’équilibre ?

Application :

1/ c’est le prix d’équilibre d’entente entre Offreurs et Demandeurs .

2/ * 1er situation :

à T1 : le 05/12/04 : prix = 32$à35$ : Offre =Demande = ON

* 2 eme situation :

à T2 : le 01/01/05 : prix = 40$ > prix consensuel

- 1er conséquence : une nouvelle courbe de la Demande D’D’>DD

- 2 eme conséquence : une nouvelle courbe de l’Offre O’O’> OO

* 3 emesituation :

à T3 nouveau prix du marché inférieur au prix consensuel 25$<32$

* Demande constante Offre évolue

* la Demande évolue moins vite que l’Offre

- Remarque : dans les deux cas le prix baisse

l’Offre va ajusté le prix en fonction de la Demande .

Chapitre V

La Loi d’Elasticité.

A/ Introduction :

L’entreprise évolue dans un environnement changeant .

Des lors, l’entreprise doit développer un comportement et une stratégie qui lui permettent de s’adapter au changement.

La NOTION d’ELASTICITE constitue un instrument par mis tant d’autres qui permettent à l’entreprise de tirer un certain nombre d’enseignement .

La loi d’Elasticité est un concept économique et MKG qui renseigne l’entreprise sur :

- la sensibilité de la Demande par rapport à la variation des Prix

- la sensibilité de l’Offre par rapport à la variation des Prix

- la sensibilité de la variation de la Demande par rapport à la variation du Revenu

B/ les Coefficients de l’Elasticité

I/ Rappel de la loi de l’Offre et la Demande

- l’Offre est fonction Croissante du Prix

- la Demande évolue en sens inverse du Prix

en dehors de l’évolution du Prix les autres éléments sont considérés constant :

· alors , comment mesure t-on la variation de l’Offre et de la Demande consécutive à la variation du prix ?.

· Comment mesure t-on la variation de la Demande consécutive à la variation de Revenu

· Cette variation est mesurée par la LOI D’ELASTICITE

Le 22/01/2005

II/ la Loi d’Elasticité

- Elle mesure la variation de la Demande consécutive à la variation des prix.

- Elle mesure la variation de l’Offre consécutive à la variation des prix

- Elle mesure la variation de la Demande (consommation) consécutive à la variation du Revenu.

III/ Caractéristiques de la loi d’Elasticité

- l’Elasticité se mesure par rapport à une Demande et une Offre et par rapport à un prix de départ

- l’Elasticité est fondée sur des valeurs relatives .

IV/le Coefficient d’Elasticité

A/ la Demande :

a/ l’Elasticité Directe :

- l’élasticité directe part du principe que les prix des autres biens en dehors du bien considéré sont stables.

- L’élasticité directe mesure le pourcentage de la variation de la Demande consécutive à une faible variation desprix .

Y

Prix

T2 20

T1 10

D1 10 D2 25 X Quant

% de la variation de la Demande (D2-D1 )/ D1

=

% de la variation des Prix (T2-T1) / T1

Exemple :

Si les quantités demandées augmentent de 20% par rapport au quantités initialement demandées et que le prix sur le marché baisse de 4% par rapport au prix initiale , le coefficient d’élasticité est égale à :20/4=5

v L’Interprétation des Résultats :

1/ quand le coefficient d’élasticité est supérieur à 1

Coeff.>1 :

La Demande du bien considéré est dite : ELASTIQUE, cela veut dire que la DEMANDE de ce bien est TRES SENSIBLE à la VARIATION DES PRIX.

Les quantités demandées augmentent au fer et à mesure que les prix baisses .(ex : la demande des véhicule est très sensible au prix)

Exemple :

Une entreprise qui fabrique des stylos .

Supposant que le prix du marché du stylo baisse de 10 à 08 DA .

La quantité demandée augmente de 1200 stylos à 1800 stylos .

Travail à faire :

Le prix passe de 08 à 10 DA , et la quantité de 1800 à 1200 stylos

2/ quand le Coefficient d’élasticité est inférieur à 1

Coeff.<1 :

Demande insensible à la variation des prix

La Demande est dite INELASTIQUE, C.A.D que la Demande réagie faiblement à la baisse des prix .

Exemple : les produits Alimentaires de 1er nécessité.

3/ Coefficient d’Elasticité nulle

Coeff. =0

La Demande est insensible à la variation des prix

Ex : secteur des médicaments (maladies chroniques)

4/ l’Elasticité Unitaire

Coeff. =1

La Demande est presque insensible à la variation des prix ( il s’agit des biens de rangs inférieurs ex : les légumes secs).

Le 29/01/2005

b/ l’Elasticité Croisée

elle exprime la variation relative de la Demande d’un Bien « A » consécutive à la variation relative d’un autre Bien « B ».

ea/b= (?CA/CA)/ (?PB/PB)

*ea/b = élasticité Croisée de a/b

*CA= variation relative de la consommation du Bien « A » suite à la variation relative du prix du Bien « B ».

* CA = consommation initiale du Bien « A »

*? PB =variation du prix du Bien « B »

* PB = prix initial du Bien « B »

v Interprétation des résultats

1er situation :

ea/b> 0 :

le produit « A » peut se substitué à la Demande du « B » quand ce dernier subi une variation des prix ex : (beurre ;margarine )(viande ; poulet)

2emesituation :

ea/b<0 :

la baisse de la consommation du Bien « B » consécutive à l’augmentation du Bien « A » entraîne la baisse de consommation du Bien « A »

les produits « A » et « B » sont complémentaires ex : (essence, voiture ; diesel)

Exemple : P1B =500 (t1)

P2B =700 ( T2)

C1A= 1000

C2A = 2000

? CA =2000-1000=1000

?PB 700-500=200

?CA/CA = 1000/1000=1

ea/b = (?CA/CA)/ (?PB/PB) = 1/200/500=2,5

v RepresentationGraphique

C1A C2A

 

Le 05/02/2005

Exemple:

Ea/b < 0: PB2

T1

T2

PB

20

40

DA

16

8

PB1

?CA/CA /?PB/PB

= (8-16)/8 /(40-20)/40= -2 <0

produitscomplémentaires

CA2 CA1

· interpretation

la baisse de la consommation du Bien “B” consécutive à l’augmentation de son prix ( 20 à 40 ), va entraîner la baisse de la consommation du Bien “A” .

 

· conclusion

Dans ces conditions, le Bien « A » ne peut pas se substitué au Bien « B » . Alors les deux Biens « A » et « B » sont complémentaires.

II/ l’Elasticité de l’Offre

Comme pour l’élasticité de la Demande, l’élasticité de l’Offre mesure la variation de l’offre consécutive à la variation des prix.

Eo= % variation de l’offre d’un bien X

/ % variation du prix de ce bien X

1er Situation :

l’Offre parfaitement élastique :

eo > 1 :

- Offre parfaitement élastique

- Offre très élastique.

Le marché absorbe toutes les quantités offertes ; dans ce cas l’Offre augmente toujours. Cela veut dire que la concurrence est très faible sur ce segment d’activité .

 

2 eme Situation :

l’Offre peut élastique et Inélastique

eo<1

l’Offre peut elastique

 

cela veut dire que l’offre sur ce produit est limitée.

Même si les prix augmentent de manière spectaculaire l’offre augmente très peu

Exemple :

Temps

Prix

Offre

T1

100

80

T2

200

90

T3

350

95

offre Inélastique:

ne réagie pas à l’augmentation des prix, elle est insensible à l’augmentation des prix.

Exemple :

Temps

Prix

Offre

T1

100

80

T2

200

90

T3

350

95

3eme Situation :

eo = 1 :

l’Offre est proportionnelle à l’augmentation des prix.

III/ l’Elasticité Revenu

ER = (?Ci/ Ci) / (?R/R) ou (?D/D)/ (?R/R)

?Ci : variation de la consommation (Demande)

Ci : Consommation Initiale

?R : variation du Revenu

R : Revenu Initial

Interprétation :

· ER >0 et < 1 : Consommation Inélastique

La Demande est insensible à la variation du revenu.

Quelque soit le revenu , la consommation (Demande) est constante.

Exemple : les produits alimentaires de base.

· ER=1 :

La consommation est proportionnelle au revenu.

· ER>1

La consommation évolue plus vite que le revenu disponible.

Exemple : logement, voiture,.

· l’entreprise intègre les enseignements de la loi d’élasticité dans ses objectifs stratégiques.

On citera par mis les mesures pertinentes :

- la diversification de la production

- segmentation stratégique

- flexibilité des technologies

- politique développement ressources humaines

- les organisations du travail

· quelles sont les implications de la loi d’élasticité sur ces objectifs ?.



Economie de l'entreprise2

Publié le 14/02/2011 à 11:12 par argelia Tags : Algerie Algeria Alzir Djazair cezair entre

le 11/12/2004

F/ les Fonctions Financieres

L’ensemble de l’activité economique se realise grace à la monnaie.Ainsi , la monnaie constitue la fonction finaciere.

G/ la Fonction Distibution

A/ Notion de marché

L’entreprise à pour objectif la production de Biens et Services, pour les vendre à ceux qui en expriment un Besoin Solvable .

La distibution de ces Bien s’opere par le marché.

· les Biens et Services proposés par l’entreprise constituent l’OFFRE de MARCHE.

· L’ensemble des agents économiques qui décident d’acquérir les Biens et Services offert sur le marché constituent la DMANDE de MARCHE.

Chapitre III

Le Marché

Demande

 

Offre

1/ Notion de Marché

peut se définir comme un espace de rencontre entre offreurs et demandeurs d’un même Bien ou d’un même Service économique .

exemple : marché automobile

en concurrence parfaite :

· les conditions d’une concurrence parfaite :

- offreurs et demandeurs nombreux

- offreurs et demandeurs ne sont pas coalisés (unis contre un seul adversaire)

- le marché est transparent ( les quantités offertes et demandées sont connues et les prix aussi)

- les mécanismes de concurrence sont les mêmes

Le contraire est la concurrence imparfaite( les forces présentent sur le marché déterminent le niveau des prix.

Dans la parfaite c’est le marché qui détermine les prix

2/ Diversités du Marché

peuvent être classés du point de vue :

- Economique

- Géographique

a/ du point de vu Economique :

il correspond aux marchés des facteurs de production.

- marchés des Matières Premières

- marchés des Equipements

- marché du Travail

- marché des Changes (monétaire)

- marché Financier (Boursier)

b/ du point de vu Géographique

- marché Local

- marché National

- marché Régional

- marché Mondial

sous Chapitre III

La Loi de l’Offre et la Demande

Loi de base en Economie de Marché

A/ Introduction

En science économique l’offre collective et la demande collective sont prises en considération

B/ la Demande Collective :

1/ définition

c’est la quantité de Biens ou Services que les agents économiques sont décidés à acquérir à un certain niveau de prix.

2/ les déterminants de la demande collective

elle résulte de trois 03 éléments

· Besoins

· Revenus

· Prix

3/ Courbe de la demande collective

*Hypothèse

on suppose qu’en dehors du prix (seul variable) tous les autres éléments sont constants.

 

Prix

D

C

B

A

D

Quantité demandée

E F G

La Demande est une fonction DECROISSANTE du Prix

Ce qu’il faut retenir :

- quand le prix sur le marché augmente la demande baisse.

- Quand le prix baisse la demande augmente

Conclusion la demande évolue en sens inverse du prix.

Au prix A la demande est de G

Au prix B>A la demande est de F<G

Au prix C>A et B la demande est de E<G et B

Offre

3/ la Courbe de L’OFFRE Collective prix

a/ Définition

l’offre collective ou l’offre du marché

correspond aux productions mise P2

sur le marché par les entreprises.

C’est la somme de toutes les offres de toutes

Les entreprises P1

Offre

Quantité Offerte

10 20

L’Offre est une fonction CROISSANTE du Prix

B/ les Déterminants de l’offre .

1/ Prix du marché

2/ Coûts de production ( il faut que les prix du marché soient supérieurs au coûts de production .

3/ Stocks importants ( dans ce cas l’entreprise peut prendre la décision de vendre sa production à un niveau de prix de marché inférieur aux coûts de la production).

4/ Pression de la concurrence.( prix proposés par les concurrents.

5/ coûts de stockage.

Prix

Explication du gaphe

* Le prix A sur le marché correspond à un

Coût de production standard (0) E

· au niveau du prix A sur le marché, l’offre

est nulle (0) parce que la marge commercialeest nulle .C

 

A

 

O B D Q, Offertes

· Les offreurs commencent par mettre sur le marché leurs productions quand le prix du marché s’établi à un niveau supérieur au coûts de production standard c’est à dire supérieur à A.

· Quand le prix du marché s’établi à C (C>A) ,les quantités offertes sont de B.

· Quand le prix du marché s’établi à E (E>C>A) les quantités offertes sont de D( D>B).

Conclusion L’Offre Collective évolue dans le même sens que les prix de marché.

Chapitre VI

L’ Equilibre de l’Offre et de la Demande .

A/ Principe de l’Equilibre

Il n’est valable qu’en situation de concurrence pure et parfaite.

*offreurs et demandeurs nombreux

* offreurs et demandeurs non coalisés.

Dans ces conditions (concurrence pure et parfaite) la théorie économique établie un PRIX d’EQUILIBRE qui résulte de l’EGALITE entre les quantités offertes et les quantités demandées.

B/ Représentation Graphique Prix de marché

Prix d’équilibre implique

Offre = Demande

Le prix d’équilibre est le Point

De Rencontre entre la courbe de

L’OFFRE et la courbe de la

DEMANDE.

S P

Commentaire :

Au prix « S » : la quantité offerte est de « N »

Au prix « S » la quantité Demandée est de « N » O

Au prix « S » :

Quantité Demandée = quantité Offerte

0 N Q.offe et deman

C/ RUPTURE DU PRIX D’EQUILIBRE ET MECANISME DE MARCHE DE RETOUR AU PRIX D’EQUILIBRE

1/ Rupture du prix d’Equilibre

prix du marché supérieur au prix d’équilibre

soit le nouveau prix du marché T (T>S)

situation initiale .

au nouveau prix T

Prix

l’Offre = TM

la Demande = TR.

R S

B

Z M P T

A

O

0 R N T’ M Q.Off et Dem

le 08/01/2005

* au temps t1 , le prix du marché s’établi à A

au prix A : Offre= Demande = ON

* au temps t2 , le prix du marché s’établi à B >A

cela veut dire qu’il y a rupture du prix d’équilibre initial.

Que ce passe t-il ?

· au nouveau prix B :

- l’Offre = BS

- la Demande = BR Offre > Demande

- donc l’Offre résiduelle = BS-BR= RS

· Réaction des offreurs :

En concurrence entre eux décident de baisser les prix pour écouler les quantité de produits disponible.

Conséquence :

1er Situation :

Un nouveau prix va s’établir au niveau du marché (Z)

Au prix Z<B mais toujours Z>A (prix d’équilibre)

*L’Offre = ZT

* Demande =ZM

au prix Z l’Offre est toujours> à la Demande

soit ZT-ZM=TM

l’Offre résiduelle TM< RS

Enfin le phénomène de la baisse des prix va se poursuivre jusqu’au retour au prix d’équilibre .

2 eme Situation :

Nouveau prix du marché t2 (V) < au prix du marché t1

(prix d’équilibre de Réf (A). V<A

* au prix V : la demande est de VR>AS

(a chaque fois que le prix baisse la demande augmente)

* au prix (V) l’Offre est de VT<AS

(à chaque fois que le prix baisse l’Offre baisse

* au prix (V)Demande >Offre

VR= Demande

VT=Offre

· au prix (V) : il y a une Demande totale TR qui n’est PAS satisfaite.

· au prix (V) : il y a une Demande TK (qui correspond à la demande résiduelle d’équilibre)

*Réaction des Demandeurs :

dans ces conditions, les demandeurs voulant satisfaire la Totalité de leurs besoins vont surenchérir entre eux .

alors un nouveau prix du marché, va s’établir soit (F)

*le nouveau prix F>V

· à ce prix (F) :

l’Offre va augmenter, elle passe à FH, et la Demande sera de FL

· au nouveau prix F la Demande non satisfaite totale est de HL

· au nouveau prix F le retour a l’équilibre est de Hx

le 15/01/2005

2/ l’Offre Concurrentielle :

a/ Introduction :

- l’Offre Concurrentielle caractérise les secteurs d’activité ou la concurrence est très forte.

- Dans ces conditions les entreprises en concurrence entre elles vont entraîné une baisse des prix au niveau des marchés.

- Conclusion les entreprises qui n’arrivent pas à soutenir la concurrence risque de disparaître.



Economie de l'entreprise

Programme :

Séance 1 : Introduction à la Science économique

- Définition

- Champ de l’Economie

- L’Analyse économique

Séance 2 :

· Initiation de la micro-économie :

- l’Entreprise

- les Facteurs de la production

- les Agents économiques

- les Facteurs économiques

Séance 3 :

A/

· les Marchés :

- Notion de Marché

- Diversité des Marchés

- Les Règles des Marchés

B/

· La théorie de l’Offre et de la Demande

Séance 4 :

- Introduction

- le principe de l’équilibre

- rupture de l’équilibre

- Mécanisme de l’équilibre

Séance 5 :

- les théories du producteur

- notion de production

- condition de la production

- notion de productivité

Séance 6 :

· la théorie des Coûts de Production

- les Coûts Fixes

- Les Coûts Variables

- Les Coûts d’Ensembles

- Les Coûts Marginaux


Le 20/11/2009

Séance I : Introduction à la science économique

1/ Définition de l’économie:

® Optimisation des Moyens de Production

® Cellule de comportement rational qui permet une optimisation des ressources et des moyens afin de satisfaire l’ensemble des besoins .

®affection de moyens pour……

2/ Champ de l’économie :

2-1/ macro-économie : grand agrégats d’une nation

2-2/ micro-économie : comportement de l’entreprise par rapport au marché (son environnement)

2-1-1 / les Indicateurs de la macro- économie :

-a/ le chromage : niveau de l’inflation

- b/ production ont bout (ONB) : volume des richesses de l’entreprise

2-2-2 / micro- économie : s’intéresse au :

- comportement de l’entreprise (production)

- l’influence sur le consommateur

- c’est une institution financière

comme elle s’intéresse aussi à l’ensemble des agents économiques.

3/ l’Analyse économique :

- Production

- Consommation

- Biens et Services

- Besoins

- Epargne

4/ Finalité de l’entreprise :

production des Biens et Services qui sont destinés au Marché ( Consommation)

relation directe® Production/Consommation

· Un bien économique résulte d’une activité économique (processus de prode)

®Epargne : (ménage = argent avec revenu économique)

Bénéfice net

Récession économique®régression

®Dificite chronique provoque le dépassement de l’entreprise face au marché

Produit obsolète® produit dépassé par la croissance technologique

v La mauvaise gestion de l’épargne provoque une récession économique.

- en économie de marché l’entreprise représente la cellule de la création /(créer des richesses)

· La Rationalité économique :

- rendre le circuit économique formel®( suppression du marché noir)®France 640 milliards $

PIB® Produit Interne Brute®Alger 60 milliards $

L’illusion de richesse.

Séance II : Initiation à la micro-économie

- l’entreprise

- les Facteurs de la production

- les Agents économiques

- les Facteurs économiques

la mondialisation risque d’agresser l’identité même culturelle

les entreprises Algérienne vivent en alarcie( isolées) .

la solution : Partenariat et investissement étranger

Firme globale® c’est la logique globale.

Séance III/ A/ Les Marchés

- notion de marchés

- diversité des marchés

- règles des marchés

B/ la théorie de l’offre et de la demande

Que fait fonctionner le marché : l’Offre et la Demande

· Décalage entre la législative et la réalité économique en Algérie.

· La monnaie est l’expression de la domination

· L’épargne préfère la monnaie stable (l’épargne mondiale ) et permet l’épanouissement fonctionnel de l’économie américaine ; la consommation américaine augmente

Dévaluation de al monnaie net® augmentation du prix X

Quand l’économie américaine ® l’européenne a de la fièvre ( les exportateurs )

® Marché change®espèce de rencontre entre offreurs et demandeurs de monnaies

Cours fluctueux

Séance IV : loi de l’Offre et la Demande

- introduction

- principe de l’équilibre

- rupture de l’équilibre

- mécanisme de retour à l’équilibre

®Alliance de producteur (OPEP) concurrence importante pour susciter la demande en réduisant l’offre (consensus entre producteurs et consommateurs)

® Fixation du seuil : - supérieur 28$ la demande

- inférieur 19$x l’offre.

Achat par spéculation (pour la demande suite aux éléments extérieurs à l’économie)

Monnaie forte = valeurs marchandes élevées (produits chers

Régression de la consommation =réduction de la production =récession économique du commerce international

Séance V : la théorie du producteur

- notion de production

- condition de la production

- notion de productivité

Séance VI : la théorie de la productivité

1/ productivité optimum /moyenne/ marginale

- les Coûts Fixes

- Les Coûts Variables

- Les Coûts d’Ensembles

- Les Coûts Marginaux

la théorie de la productivité®faire profit au détriment de la nation # coalition sociale


Le 27/11/2009

Séance II

Chapitre I

Introduction à l’étude de la Science Economique

I/ Définition de la Science Economique

L’Economie indique une gestion ordonnée des ressources ; des dépenses en fonction des possibilités existantes.

- tirer le maximum des ressources disponibles.

En un mot , l’économie a pour finalité la résolution de l’équation suivante :

Comment satisfaire le maximum de besoins avec des moyens limités.

Comment optimiser l’utilisation des moyens limités.

Rque : CAD fixer les objectifs mais ce n’est pas évident de les réaliser.

II/ l’Analyse Economique :

L’économie se propose d’analyser comment les hommes agissent pour produire les BIENS et SERVICES nécessaires à la satisfaction des BESOINS des consommateurs.

Ainsi donc, les notions de :

- Production

- Consommation

- Besoins

- Revenus

- Epargne

- Besoins et Services

Sont des éléments important de l’activité économique.

E= Epargne

R=Revenu E=R-C

C=Consommation

I=Investissement I+Di = P+Dp

P=Production

Dans le marché mondial les délocalisations des investissements se basent sur les industries moyennes (mains d’œuvre moyenne),les compétences et les technologies restent dans les pays développés.

A/ Production :

· tout activité économique a pour finalité la PRODUCTION

· par Production on entend la création des BIENS et SERVICES.

· Il y a production de BIENS quand le résultat est MATERIEL

· Il y a production de SERVICES quand le résultat de la production est IMMATERIEL

B/ Consommation

C’est l’utilisation ou la destruction d’un Bien ou Service destiner à satisfaire un Besoin SOLVABLE

C/ Notion de revenu

A l’occasion de la production, l’entreprise réalise des richesses supplémentaires, celles ci sont destinées aux agents économiques.

D/ les différents types de revenus

1/ Salaire : revenu du facteur de production (travailleur)

2/ les Dividendes : revenu de l’actionnaire

3/ Intérêts : revenus des emprunts

4/ Impôts /Taxes : revenus de l’Etat

5/ Profit :revenu du propriétaire du capital

6/ Rente : revenu de location du capital (loyer)

7/ Fermage : location de la terre .

le 04/12/2004

E/Notiond’Epargne: E=R-C

C’est la partie de revenu soustraite à la consommation , elle est destiné à la satisfaction de besoins futures.

L’Epargne d’une entreprise =les réserves (sont destines à auto financer les investissements) .

Chapitre II

I/ Initiation à la Micro- Economie (M E)

La ME s’intéresse aux problèmes  du :

- Consommateur

- Producteur

- Travailleur

- Epargnant

Rque : les impératifs de l’entreprise sont :

· Etre compétitive

· De tenir compte de l’économie du marché

· Du désir de ses consommateurs

· Ainsi que de la concurrence

Les institutions (banques) sont alimentées par l’épargne

Travail

A/ Notion de Facteurs de production

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 102px; height: 42px; background-color: white;">Entreprise

 

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 102px; height: 66px; background-color: white;">Biens et services

Sont l’ensemble des éléments nécessaires à toute production

1/ Travail Production

2/ Capital Technique CT Facteurs de

3/Matières Premières, Ressources Naturelles, Production

Produits semi-fini, Produits fini Classiques

4/ Moyens Financiers, Management

 

Destinés

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 94px; height: 42px; background-color: white;">Marchés

 

B/ notion d’Agents Economiques

Les agents économiques sont les acteurs de l’activité économique, CAD qu’ils font des actes économiques

1er agent :

A/ les Ménages :

En économie les ménages sont définis à travers 03 caractères ou critères

1/ la vie en commun (même logement)

2/ disposer d’un revenu

3/ grâce au revenu les ménages consomme

v les différents types de ménages

· les ménages ordinaires( vivant seul ou ensemble)

· ménages des institutions (population des maisons de retraites, militaires prisons etc.….)

l’entreprise ou le producteur : agent économique principal

les Ménages : - facteur productif (FP)

- consommateur (C)

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 134px; height: 78px; background-color: white;">Institutions financières

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 134px; height: 42px; background-color: white;">Ménages

background: none repeat scroll 0% 0% white; width: 150px; height: 42px; background-color: white;">Entreprise

travail Circuit

Formel

revenu

FP C

Remarque : le circuit Informel est le marché noir (il porte préjudice au circuit Formel)

2em agent :

B/ les Entreprises :

La finalité des entreprises est la création (production) de Biens et Services destinés à la consommation (marché).

3em agent :

les Institutions Financières : on en différencie deux

bancaires( banques) :c’est celle qui collecte l’épargne et octroie des Crédits

non bancaires (CCP) : elle n’octroie pas de Crédits et ne collecte aucune épargne.

4em agent :

C/ l’Etat et les collectivités :

- ministères

- collectivités locales

- les organismes de Sécurité Sociale

- Administrations étrangers

L’état peut jouer un rôle économique en plus de ses missions naturelles de réglementation de l’activité économique et sociale.

E/ les fonctions économiques

1/ la Fonction Productive : c’est celle de l’entreprise

2/ la Fonction Consommation : c’est celle de tous les agents économiques

3/ la Fonction Répartition : correspond à la répartition de la VALEUR AJOUTEE crée par l’entreprise.

4/ notion de la Valeur Ajoutée (VA) :

elle est la richesse supplémentaire crée par l’entreprise

VA= CHIFFRE D’AFFAIRE –CONSOMMATION INTERMEDIAIRE

VA= VALEUR MARCHANDE DE LA PRODUCTION - CONSOMMATION INTERMEDIAIRE

Exemple : un logement type F4 = 5 millions de Dinars

Consommation intermédiaire (Agrégats, travailleurs, entrepreneurs ….) +toutes les charges= 3 millions de Dinars.

VA=5-3=2 millions de Dinars

Reque : la notion de VA en économie de l’entreprise est déterminante

· répartition de la Valeur Ajoutée :

 

Réserves en vue d’ autofinancer les investissements

 

Primes et indemnités pour Salariés

Profits (Benefices ) pour proprietaire

* VA elevée on gagne en competitivité




Relations économiques internationales 2

Publié le 14/02/2011 à 11:07 par argelia Tags : Algerie Economie Al

Le 18/03/06

 

Théorie des Avantages Comparatifs

DAVID RICARDO

 

 

 

A) Introduction

La théorie d’ADAM SMITH n’apporte pas de réponses aux situations ou un pays est moins efficient dans l’ensemble des activités.

La théorie de DAVID RICARDO apporte des réponses aux limites de la théorie d’ADAM SMITH sur la base du principe de l’avantage comparatif le plus élevé et du désavantage le plus relatif le plus petit .

Ce qui veut dire qu’un pays qui est moins efficient en tous peut participer à l’Echange International en se spécialisant dans les secteurs ou son désavantage est le plus petit.

 

B) Spécialisation selon la théorie de DAVID RICARDO

Exemple :

Supposons deux pays A, B qui produisent indifféremment deux biens S, V. et que l’unité de travail représente 100 heures.

 

 

 

 

 

 

 

 

A

B

S

70

72

V

45

50

 

Dans ces conditions le pays B a un avantage absolu dans les deux biens

Et le pays A a un désavantage dans les deux biens aussi.

 

 

Le pays B va se spécialiser dans le bien ou son avantage est le plus élevé dons en V.

Le pays A va se spécialiser dans le bien ou son désavantage est le plus petit donc en S

 

C) les avantages de la spécialisation

La théorie de DAVID RICARDO indique que la spécialisation est profitable à la croissance économique des nations.

 

Le 25/03/06

Cour avec Benlamara

 

Le 26/03/06

 

 

 

Réalisation de l’Equilibre Théorique des Echanges

 

A) Introduction

 

Le déséquilibre des échanges commerciaux est temporaire ; les fluctuations des taux de changes de monnaies résultent des échanges commerciaux, ramènent les échanges à l’équilibre.

 

B) Exemple :

(1) considérons une situation INITIALE ci après

- supposons où par exemple le taux de change €/$ s’établit comme suit :

- supposons aussi que les prix intérieurs se présentent aux USA et en Europe de la manière suivante :

 

En Europe : T= 1 € et C= 3 €

Au USA :T= 6$ ou 6 € et C= 6$ ou 6 €

 

  • réaction des consommateurs

- les européens

Achèterons les produits T & C en europe

- les Américains

Achèterons les produits T & C en europe après avoir acheter de l’€ avant

 

Résultat : le prix ou le taux de change va augmenter et il s’ensuit que la balance commerciale américaine sera déficitaire dans ses échanges avec l’€.

Alors il y aura renchérissement de l’€ par rapport au $ (appréciation).

 

Remarque : ceci est valable dans le cas ou le marché des changes est libre

 

(2) Réalisation de l’équilibre

- le déficit de la balance des paiements des USA va provoquer la hausse de l’€.

Exemple :

- supposons que le nouveau taux de change s’établit à :

1 € = 3 $

 

 

 

 

 

a) pour les Français

T= 1 € ou 3 $

C= 3 € ou 9 $

Acheté au USA le Français engage pour :

T= 2 € & C= 2 €

Donc il devra acheté T en Europe et importé C des USA (qui vaut 3 € en Europe)

Par rapport au nouveau taux de change 1 €= 3 $

 

b) pour les Américains

T= 6$ & C=6$

Acheter pour l’Américain revient à dire qu’il doit engager :

T= 1 € ou 3 $ & C= 3 € ou 9 $

Donc il achètera T aux USA et C en Europe

 

C) les Termes de l’Echange

 

- en vendant T aux USA, l’Europe obtient 2 € ou 6 $

- en vendant C aux Européens les USA obtiennent 3 € ou 9 $

t=2, C =3 donc l’échange se fait 1/3 C pour 1/2 T

 

 

Négociations Internationales

&

politiques Commerciales

 

 

A) Principes du Système Commercial International

 

Ou aussi principes de Libéralisation de l’Echange

 

*Introduction

Les principes qui fondent le développement du Commerce International dans le cadre des engagements des pays contractant, sont de plusieurs types

 

Remarque :

Ce sont des principes de base dont on doit se souscrire des qu’on est membre de l’OMC ou d’être sous le système régie par le système du Commerce International

 

I) le principe de non discrimination

Il formule deux règles

 

a) la Clause de la Nation la Plus Favorisée (NPF)

Les avantages douaniers ou tout autres natures accordés à un pays par un autre doivent être concédés à toutes les autres parties.

 

b) le Principe de Réciprocité

Un pays qui accepte une baisse des droits de douanes d’un pays tiers doit offrir en retour une concession de nature identique

 

 

 

 

Le 01/04/06

 

 

 

Aucun pays ne peut bénéficier de la clause de la nation la plus favorisée sans que lui même n’abaisse son niveau de protection

 

 

 

II) Principe de Concurrence Loyale

 

Remarque :

La seule protection admise dans l’OMC est la douane avec conditions, le reste est considère vis à vis de l’OMC comme du protectionnisme déloyale.

 

Les pays signataires d’accords commerciaux Internationaux s’engagent à ne pas prendre de mesures de nature à causer des préjudices au commerce international (l’échange)

Le principe du Concurrence Loyale est fondé sur quatre (04) règles :

 

A) les Droits de Douane

Sont le seul moyen admis dans le cadre des accords internationaux pour protéger les économies ; mais les pays membres du système commercial international (OMC) s’engagent à réduire progressivement le droit de Douane

 

B) le Dumping

N’est pas autorisé, il est formellement Interdit. Il consiste à vendre un bien à l’étranger à un niveau de prix inférieur aux prix du marché domestique.

 

C) les Quotas à la production et à l’Exportation

Les restrictions à l’importation et l’exportation qui pourraient être imposées par un gouvernement sont interdites

 

D) les Subventions à l’Exportation et à la production

Les Subventions de l’état à l’Exportation sont interdites ; les subventions à la production sont surveillées.

 

 

B) les Dégradations aux Principes

 

Les Dégradations aux Principes fondamentaux sont prévues dans le cadre des accords du GATT puis reconduis par ceux de l’OMC.

L’OMC, pour éviter les tentatives de replis du commerce des pays a préféré cautionner un protectionnisme moins rigide.

 

a) Dérogation ou Principe de Dérogation ou Principe de non Discrimination

L’OMC accorde sa légitimité à l’existence d’espaces économiques intégrés (ALEA, Mercosur, ….).

 

 

 

 

Le 10/04/06

 

 

b) Dérogation au principe de réciprocité

Il s’agit d’un ensemble de concessions tarifaires accordées aux pays en voie de développement entrant à l’OMC

En application de ce principe, les pays développés accordent des avantages aux produits en provenance des pays en voie de développement sans que ces derniers n’accordent les mêmes avantages

 

II) Dérogation aux principes de concurrence loyale

Les accords commerciaux internationaux permettent aux états de déroger aux règles de la concurrence loyale à certaines conditions :

 

1er Condition :

Quand les importations menacent la production d’une industrie locale

Dans ces conditions après un rapport économique transmis le pays concerné pourra :

- relevé les droits de douanes des produits concernés

- mise en place de contingent (quotas)

- les mesures sont momentanées en vue de permettre au pays dont le secteur d’activité est menacé de redynamiser l’activité

 

2 eme Condition :

Quand un pays subi les incidences du Dumping ou des subventions, ce pays peut imposé des droits anti Dumping et droits compensateurs

 

(1) Droits anti Dumping

Ils s’appliquent aux produits dont les prix à l’exportation sont INFERIEUR aux prix sur le marché domestique

 

(2) Droits Compensateurs

Ils visent à annuler les avantages conventionnels résultant de la subvention accordée aux producteurs étrangers

 

ÿ Processus de l’Adhésion à l’OMC

L’adhésion à l’OMC est ouverte à tout état qui joui de l’indépendance politique et commerciale

La procédure d’adhésion passe par quatre (04) étapes

 

 

Le 15/04/06

 

* 1er étape

 

Description de l’ensemble des aspects économiques, commerciaux, juridiques et réglementaires concernant un pays

Le pays candidat à l’adhésion à l’OMC doit établir un descriptif de tous les aspects des politiques commerciales, juridiques, économiques et réglementaires qui pourraient avoir une implication sur les accords de l’OMC.

Ce descriptif est examiné par un groupe de travail ou tous les membres de l’OMC peuvent faire partie

 

* 2 eme étape

 

Lorsque l’aide mémoire présenter par le pays candidat est traité par le groupe de travail des négociations bilatérales, multilatérales et plurilatérales peuvent être engagées entre les différents pays membres de l’OMC et le pays candidat.

Les négociations bilatérales portent sur des intérêts commerciaux propres à un pays.

Es engagements pris par un pays candidat dans le cadre bilatéral ou multilatéral s’appliquent à l’ensemble des pays membres selon le principe de non discrimination

 

* 3 eme étape

Conditions d’accès (protocole d’accession)

Une fois que le groupe de travail a examiné et avalisé l’aide mémoire et que les négociations sont finalisées dans un Protocole d’accession qui indique les engagements du futur pays à l’OMC

 

*4 eme étape

Prise de décisions

Le dossier final qui comprend entre autre :

- Rapport de présentation

- Protocole d’accord

- Liste des engagements

 

Est présenté à la conférence ministérielle ou au conseil générale ; si les deux tiers (2/3) des membres expriment leurs accords, le pays candidat peut alors signé le protocole et accédé à l’organisation.

 

*5 eme étape

Le protocole d’accord est soumis au vote du parlement et du candidat.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Zone de Texte:

 

 

L’OMC

 

A) les missions de l’OMC

L’objectif principale de l’OMC est de favoriser le

Développement du commerce international par :

 

- la surveillance du respect des accords passés entre ses membres

- l’organisation des règlements des différents (ORD) commerciaux entre les pays membres

- la poursuite des négociations

- le développement de la coopération avec les autres organisations internes

 

B) les Structures de l’OMC

Elle est dotée d’une structure administrative permanente

A coté de cette structure elle est dotée de plusieurs organes délibérant :

- La Conférence Ministérielle

- le Conseil Générale

- l’Organe de Règlement des Différents (ORD)

 

1) La Conférence Ministérielle

L’OMC compte actuellement 150 pays qui représente un peut plus de 95% du commerce mondial

 

 

Le 16/04/06

 

La Conférence Ministérielle est l’organe suprême l’OMC qui se réunie tous les deux ans (1996 Singapour ; 1998 Genève ; 1999 Seattle ; 2001 Doha ;..) elle réunie les ministres (ou chef d’états) des pays membres

 

2) le Conseil Générale

Il exerce les compétences de La Conférence Ministérielle quand celle-ci ne siège pas en science plénière,

Les membres du Conseil Générale sont les ambassadeurs des pays membres de l’OMC

Et sont basés à Genève.

 

3) l’Organe de Règlement des Différents (ORD

Il a pour rôle de résoudre des litiges commerciaux quand les pays membres portent leurs différents devant l’ORD

Les litiges sont traités par des experts indépendant

 

 

 

C) les Organes Administratifs de l’OMC

L’OMC est gérée par un secrétariat composé d’environ 600 fonctionnaires

 

 

 

 

 

Chapitre V

 

La Mondialisation & l’Epargne Mondial

 

I) Mondialisation

 

 

A) Contexte Actuel de l’Economie Mondiale

Il est caractérisé par la mobilité des flux :

- Marchandise

- Capitaux Industriels

- Capitaux Financiers

- Mobilité des Hommes

- Circulation de l’Information

 

B) Dimension Politique de la Mondialisation

- la dimension politique découle de la libéralisation de l’activité économique dont la presque totalité des pays

L’option libérale du développement économique est dominante à travers le monde

 

- la chute du mur de Berlin dans les années 1949 marque un tournant dans les orientations de politiques économiques des nations

 

- la dimension politique par les suppressions des protections des économies des états et donc le développement des échanges comme moyens devant permettre la croissance économique au niveau mondiale

 

 

24/04/06

 

* les implications à Court Terme de la Mondialisation (le Libre Echange)

L’ouverture des économies jusque la protégé du libre échange, va avoir pour conséquences : des perdants & des gagnants à l’échange (les Termes de l’échange) vont être favorable certainement aux pays industrialisés

 

* les implications à Moyen &Long Terme

 

À Moyen &Long Terme l’échange international dont la densité et le volume iront en s’accentuant pourrait résorber (ce qui n’est pas évident) le difficite de l’échange du court terme

 

C) Dimension Technico économique de la Mondialisation

 

La Mondialisation de l’économie n’a été possible que grâce au développement des transports ; de la communication et de l’information :

 

1) le développement des moyens de Transport

 

Le développement en moyens et en volume des modes de Transport a occasionné une réduction significative des coûts de transport rendant ainsi avantageux les flux de marchandises ; de capitaux et des hommes entre les territoires à titre d’exemple :

Les coûts de transport maritimes ont été divisés en 5 entre 1960 et 2005

 

2) le développement de la communication et de l’information

 

Le développement des moyens de communication et de l’information d’une part et l’ouverture de ce secteur à la concurrence national et international a eut pour conséquences :

- la réduction des coûts de transport des données numériques entre les pays de la triade (Japon ; Europe ; Amérique du nord) de puis 1970 à 2005 se situe dans un rapport de 1/25

- la réduction significative des redevances pour l’utilisation des moyens satellitaires dans un rapport de 1/75 depuis 1970

D) Développement du marché mondial des Capitaux Financiers

La suppression des restrictions par les états au mouvement des capitaux a permis le marché mondial des capitaux et donc des flux des capitaux entre les territoires

 

 

 

Le 29/04/06

 

 

II) Mouvement de l’Epargne Mondial

 

Mouvement Actuel de l’Epargne

 

A) le mouvement de l’Epargne

 

1) dans les Pays Développer

- le mouvement des capitaux a lieux en priorité entre les pays les plus riches de la planète (l’Amérique, le Japon et l’Europe).

Les pays de la triade détiennent 88% des flux des capitaux mondiaux.

2) dans les pays immergents

Le mouvement des capitaux se développe et commence à s’intensifier entre les pays riches et le reste du monde notamment les pays immergeant

  • Asie : Singapour ; Taiwan ; Inde ; Pakistan
  • Pacifique : Indonésie ; New Zélande
  • Amérique Latine : Brésil ; Mexique ; Chili ; Argentine
  • L’Europe : tous les pays de l’Europe de l’est
  • L’Afrique : Tunisie ; l’Afrique du Sud

 

B) Condition d’Attractivité de l’IDE

 

Les Condition d’Attractivité de l’IDE sont de plusieurs catégories, car le choix de localisation est lié à une décision stratégique qui prend en considération des éléments multiples et souvent complexes

 

1) les conditions Macro économiques

Stabilité des indicateurs macro économiques notamment

a) l’inflation et le taux de change

b) la taille et le dynamisme du marché des consommateurs

c) le marché de la main d’œuvre sa densité et qualification

d) le marché de matières premières

 

La localisation des IDE est déterminée par l’objectif d’optimisation des résultats découlant de la combinaison des éléments citer au dessus

 

2) les conditions Techniques

Ces conditions ont un impact sur les décisions d’investir à l’étranger

  • la lourdeur bureaucratique
  • le développement des systèmes de communication
  • développement des infrastructures (routes ; rails ; ports ; reports ;..)
  • développement des Télécommunications
  • la disponibilité des terrains industriels
  • Energie ; Eau
  • Disponibilité d’une main d’œuvre qualifiées, compétente qui maîtrise les langues et l’informatique
  • Le prix de la main d’œuvre
  • Les incitations financières et fiscales (crédits a des chiffres d’intérêts avantageux)
  • Disponibilité d’un tissu industriel (fabrication de certain produits 1er déjà existante)

 

3) les conditions de garantie National &International

  • application équitable de la loi par le système juridictionnel
  • Garantie de recours à l’arbitrage international
  • Garantie de transfert des capitaux
  • Délais de réponse de l’administration
  • Procédure allégée de constitution de la société

 

4) Conditions politiques

 

  • Société apaisée
  • Stabilité de la politique économique

 

 

Le 06/05/06

 

Chapitre VI

 

L’Investissement Directe Etranger

 

 

 

  • L’investissement Horizontal :

 

C’est copier les produits et les services tels qu’ils sont

L’exploitation de brevets ; de marques ; d’application ; de logos et des enseignes

Ceci ne représente en aucun cas de transferts de capitaux industriels ni de technologie

 

  • L’investissement Vertical :

C’est la production des biens indirectes ou semi fini

C’est le transfert de capitaux Industriels ; capitaux Financiers et des moyens Humains

 

 

 

ÿ Quels sont les éléments (facteurs) qui déterminent l’Investissement à l’ Etranger ?

  • Taille du marché
  • Contourner les obstacles douaniers
  • Contourner les obstacles Techniques
  • Climat
  • Population active et qualifier mais pas chère

 

 

 

 

Le 13/05/06

 

 

A) Introduction

 

L’Investissement Directe Etranger (IDE) peut se définir comme une prise de participation aux intérêts par une firme étrangère dans un territoire autre que son territoire d’origine

Les firmes ont tendance de plus en plus à investir à l’étranger à la recherche d’avantages comparatifs (par rapport à leurs territoires ). L’IDE sera traiter sous les principaux angles

 

1) l’IDE qui vise l’optimisation des résultats (réduction des coûts et création de VA optimum)

2) l’IDE qui vise l’expansion et le développement

 

I) IDE pour optimiser les résultats

Trois principales raisons poussent les entreprises à investir à l’étranger

a) IDE pour minimiser les coûts de production : parmi ses coûts

  • coût de la Main d’œuvre

certaines entreprises pour fuir les territoires ou la main d’œuvre qualifiée est chère vont délocaliser leurs activités sur des territoires ou celle-ci est qualifiée , abondante et pas chère

exemple : l’ex Suisse Air qui délocaliser sa comptabilité en Inde (Bombai)

le MKG de Toyota à Singapour et la production en Thaïlande

 

  • le coût de l’Energie

les grosse entreprises consommatrices d’énergie sont sensible à l’évolution des prix ( le secteur de la pétrochimie)

 

b) IDE pour contourner les obstacles

Trois principales raisons motivent cette catégorie d’investissement

  • les contraintes climatiques et géologiques

certaines productions exigent un climat particulier. Les contraintes géologiques concernent les ressources du sous-sol( pétrole, minerais,…etc.)

 

  • les contraintes dus aux coûts de transport

certaines marchandises sont trop pondéreuses (volumineuses) pour être transportées sur de longues distances .

 

 

 

II) les Caractéristiques des IDE

 

Les IDE présentent des caractéristiques différents selon qu’ils soient effectués sur une base Horizontale ou Verticale

 

a) les IDE Horizontaux

ils sont dit Horizontaux lorsque l’entreprise mère reproduit à l’étranger l’activité qu’elle développe dans son pays d’origine :

- les exportations

- les accords de franchise internationaux

- les accords de licence

 

b) les IDE Verticaux

Les IDE sont Verticaux lorsqu’une firme (firme amont) produit un bien utiliser comme intrant par une firme (firme avale) (c’est de la production directe )

 

L’IDE consiste à produire des biens indirects.

 

c) l’Apport des Capitaux

Les Coentreprises, a joint venture, partenariat, alliances, fusion, acquisition…

 

En résumer on peut dire que l’IDE Verticale se traduit par un transfert de :

- Capitaux Industriels

- Capitaux Financiers

- Capital Humain

 

Remarque :

La Franchise est l’utilisation d’une enceinte)

 

III) les Accords de Franchise International (IDE Horizontaux)

  • le contrat de Franchise International

il consiste à mettre à la disposition d’un FARNCHISE par un FRANCHISEUR des marques ou des enseignes dont le franchiseur est propriétaire

 

la mise à la disposition d’un franchisé des marques ou enseignes implique des obligations qui portent sur :

- transfert d’un savoir faire technique et commercial

- transfert d’une ligne de produits ou de services

 

Remarque :

le détenteur d’une marque (franchiseur) donne la possibilité d’exploitation de son enseigne à quelqu’un d’autre (franchisé).

 

 

Le 20/05/06

 

Les Accords de Franchise Internationale

 

I) le contrat de Franchise Internationale

il consiste a mettre à la disposition d’un franchisé par un franchiseur des marques de produits , de services ou d’enseignes dont le franchiseur en est le propriétaire

 

à la mise à la disposition d’un franchisé des marques ou des enseignes implique pour le franchiseur des obligations portant notamment

- transfert de savoir technique et commercial

- transfert de ligne de produits et services

 

à les obligations du Franchisé se rapportant a :

  • détention de capitaux
  • détention de Point de Vente
  • maîtrise de la gestion conformément au cahier de charge

 

à le franchisé a d’autres obligations envers le franchiseur

  • le versement d’un montant forfaitaire à l’occasion de la conclusion du contrat de franchise
  • le versement de montant financiers périodiques adossés au CA
  • l’engagement de respecter les normes commerciales et de gestion du franchisé

 

1) les différents modes de Franchise

a) la Franchise Directe

ex : Peugeot Algérie

 

Franchiseur relève

De l’autorité

De la firme mère

 

 

Établir un réseau de franchise

 

 

 

(1) (2) (3)

 

NB : Franchisé = Concessionnaire

Elle consiste à la conclusion d’accords de franchise avec des partenaires de pays dans lequel le franchiseur s’installe

 

 

 

b) la Master Franchise

Entreprise mère

Pays E

 

 

Franchiseur

Opérateur de Master Franchisé

Pays A

 

 

Franchisé A Franchisé B Franchisé C

 

 

 

 

 

Une entreprise mère délègue sa compétence à un franchiseur unique qui va à son tour délégué un réseau de franchisés

Le franchiseur unique s’appel Maître (Master) Franchiseur

 

c) la Filiale ou la succursale

le réseau est établi conjointement entre le franchiseur et le franchisé (contrat d’association)

 

 

 

 

Chapitre V

 

Le Financement des Opérations de

Commerce International

 

Première partie :

 

Règlement en Monnaie Etrangère

 

Le change

 

Introduction

 

Le règlement des opérations avec l’étranger a ses propres particularités

 

à les règlements entraînent la conversion de la monnaie d’un pays dans celle de l’autre. Les opérations sont des opérations de CHANGE

à les opérateurs économiques (importateurs , Exportateur) ne se connaissant pas ou pas suffisamment, chacun d’entre eux va vouloir se protégé de la fluctuation de la monnaie .

 

Les opérations de commerce extérieur impliquent la mise en œuvre de mesures pour sécuriser et garantir la bonne exécution de la transaction

Aussi nous traiterons de la :

- monnaie de la facturation

- monnaie de règlement

 

II) Monnaie de Facturation

 

Dans les transactions commerciales internationales avec l’étranger dont les monnaies sont différentes, la détermination de la monnaie de facturation revêt une importance particulière

 

 

 

 

 

 

Le 27/05/06

 

III) détermination de la monnaie de facturation

 

La monnaie de facturation peut se porter sur :

 

(1) monnaie de l’exportateur

(2) monnaie de l’importateur

(3) monnaie d’un pays tiers

 

IV) les critères qui déterminent le choix de la monnaie de facturation

 

Critères de risque de change (perte de change)

 

1) critère de rentabilité

2) critère commercial

 

a) critère de risque de change

L’exportateur voulant se protéger des fluctuations, va dans ces conditions opter pour la monnaie nationale pour la facturation de ses exportations

 

Solution de l’exercice

Le 20/05/06 : il a facturé pour 120 000 €

Si le règlement avait été réglé le 20/05/06 il aurait transféré 126 000 $

Si le règlement avait été réglé le 30/07/06 il aurait transféré 1236 000 $

Conclusion

L’opérateur européen a obtenu 120 000 € le 30/07/06 alors que l’opérateur américain a deboursé123600 $ au lieux de 126 000 $

123600 $ si le règlement avait lieu le 20/05/06

 

b) critère de rentabilité

Les intérêts de l’importateur et de l’exportateur sont antagonistes en effet pour optimiser la transaction :

- l’exportateur préfère la monnaie qui s’apprécie

- l’importateur va préférer la monnaie qui se déprécie

 

  • le choix de l’exportateur

La monnaie qui s’apprécie = monnaie forte

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 10/06/06

 

 

Correction de l’exercice

L’opérateur Américain veut se protéger contre les pertes de change :

La facture : 50 $X1000 = 50 000 $

Supposant que le règlement de la facture se serait fait le 30.11.05

 

Donc il aurait payer 50 000x1,1= 55 000 $

Mais le a eut lieu le 28.02.06 donc 50 000X 1,05=52 500 $

La fluctuation de change a été favorable à l’Européen, car il a transféré 52 500$ donc un report de 2500 $

Dans les deux cas l’opérateur américain a gagné 50 000 $ (52 500 /1,05= 50 000)

 

  • Critère de Rentabilité

 

Exportateur : monnaie qui s’apprécie : l’€

-Au 30.11.05 : 50X 1000 X1,1 = 55 000 $ ou 55000/1,1= 50 000 €

- au 28.02.06 : 55000 €ou 55000/1,05= 52 380

Alors l’américain dégage un report de 2380 $

 

Importateur : le $ monnaie qui se déprécie

-Au 30.11.05 : 50X 1000 X1 = 50 000 $ ou 55000x1,1= 55 000 €

- au 28.02.06 : 50000 $ ou 55000x 1,05= 52 500€

Alors l’Européen a dégagé un report de 2500 €

 

  • Critère Commercial

 

Souvent l’importateur qui privilégie sa monnaie nationale accorde des compensations à ses clients.

L’exportateur va consentir des rabais ou des ristournes si la fluctuation de la monnaie porte préjudice aux clients

Dans les contrats commerciaux internationaux, il y a des clauses de parité ou de change

  • La clause qui fixerait la parité entre la monnaie de facturation et la monnaie de règlement
  • La clause d’adaptation des prix des marchandises en fonction de la fluctuation du taux de change

 

 

Modes de Financements des Opérations du Commerce International

 

 

A) Modes de Financements du Commerce International

 

- la Traite ou la lettre de change :prévue par le code de commerce

- le Virement Bancaire International :non le marché de change national cloisonné

- le Cheque :non les fournisseurs étrangers ne le reconnaisse pas

- les Transferts Télégraphiques : non

- le CreDoc

 

 

 

 

B) le Crédit Documentaire

1) les étapes du CreDoc

 

Importateur Pays A
Exportateur Pays B

 

 

Passer Commande (1er étape )

 

 

 

S’adresse

A sa

Banque

Et demande

L’ouverture

D’une

Lettre au

Profit de

L’exportateur

 

 

Banque de L’Exportateur

Banque de L’Importateur

2e étape

 

 

3e étape

 

Transmission de la lettre de crédit

A la banque de l’exportateur

Banque émettrice Banque destinatrice ou

Notificatrice



Relations économiques internationales

Publié le 14/02/2011 à 11:02 par argelia Tags : Economie Algerie Algeria Argelia Djazair cezair alzir création travail nature

Relation Economique Internationales

M.REDJDEL

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 11/02/06

 

Programme

 

 

 

 

I) Protectionnisme

II) Le Libre Echange

III) A- Principes ou Règles du Commerce International

B- Dérogation aux Principes

IV) Théorie des Avantages Comparatifs

· ADAM SMITH (avantage absolu)

· DAVID RICARDO (avantage relative)

V) Mondialisation (Concept) et mouvement de l’Epargne Mondial

VI) Investissement Directe Etrangers (Horizontaux- Verticaux)

VII) Financement des Opérations du Commerce International

- les Monnaies dans Opérations du Commerce International

- les Modes du Financement du Commerce International

VIII) OMC, Banque Mondiale, FMI

IX) Espace Economique Intégré

- Union Européenne

 

 

 

 

 

 

 

Le 14/02/06

 

Chapitre I

Protectionnisme

 

I) Définition

Il consiste à protéger la production nationale de la concurrence étrangère

 

Remarque :

Le Protectionnisme s’oppose au libre Echange

 

II) les différents Moyens de Protectionnisme

 

la protection d’une économie est assurée par deux grandes Catégories de Moyens

 

1/ les Barrières Tarifaires

  • Droits de Douane

Ce sont des Impôts supportés par les biens et services à l’importation ; à l’exportation et au transite dans un pays

Remarque :

L’exportation dans des cas exceptionnel ex : la chine et le textile

 

Dans les faits les Droits de Douanes s’appliquent aux biens et services qui rentrent sur un territoire. Les droits de douane sur l’exportation sont exceptionnel.

On distingue les Droits de Douane suivants :

 

  • AD.Valorem

C’est un pourcentage appliquer sur la valeur du produit

 

  • Droits Spécifiques

Sont établis en chiffres absolus par unités de produit.

 

2/ Barrières non Tarifaires

Remarque :

Il y a eu suppression de droits de douanes pour 2017 articles à ce jour.

Les droits de douanes représentent des ressources pour l’état, on les supprimant ; on génèrent une perte pour le budget étatique.

 

  • Contingentement ou quota

ils consistent à limiter les quantités admises à l’importation, cependant les quantités admises sont redevables de droits de douanes.

 

  • Subsides ou Subventions

ils constituent une aide Financière accordés par l’état :

- aux producteurs nationaux pour leur permettre de résister à la concurrence étrangère (subvention à la production)

- aux exportateurs nationaux pour leur permettre d’être compétitifs sur les marchés étrangers (subvention à l’exportation)

 

 

 

  • les Prohibitions

Elles sont considérées comme des mesures extrêmes qui consistent à interdire les sorties et els entrées.

 

Elles existent encore au niveau mondial pour des motifs :

- de Sécurité (l’armement)

- de Santé (drogue)

- de protection de l’environnement

- de moralité publique

 

3/ Protection par le recours aux Mesures Générales

a- la Dévaluation de la monnaie nationale

remarque :

C’est rendre les produits d’importation plus chère et protéger l’économie en décourageant la consommation et l’importation.

 

La dévaluation de la monnaie nationale occasionne une augmentation des prix des biens et services en raison de l’évolution de la parité des monnaies (taux de change).

L’augmentation des prix a générer une baisse de consommation.

La dévaluation de la monnaie rend compétitif les produits à l’exportation.

 

b- Restriction des paiements à l’étranger

Situation des marchés d’échange cloisonnés ou protégés

C’est passé par un canal (administratif) pour avoir de la devise (domicilier une facture

Elle a pour conséquences de réduire le rythme des importations et donc le volume des importations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 18/02/06

 

Chapitre II

Le Libre Echange

 

A) Fondements Théoriques du L E

Remarque :

A travers la dimension économique, ouvrir les économies aux produits qui rentrent et le monde ouvre ses portes à vos produits mais à une condition qui est la compétitivité dans le domaine de sa spécialisation.

L’Echange ne peut exister que s’il y a division du travail.

Le Libre Echange est critiqué par rapport à la mondialisation CAD quelles sont ses limites ?

 

I) Division Internationale du Travail (DIT)

La DIT représente la spécialisation dans le domaine de production

Elle repose sur le fait que les possibilités économiques des déférents pays ne sont pas égales à cause de :

 

- Du niveau de développement du capital technique,

- De la diversité des conditions naturelles,

- De la richesse du sol et du sous-sol,

- De la densité de la population active,

- Et de son niveau de qualification.

 

  • Puisque les possibilités de production des pays sont différentes la DIT indique que chaque pays gagnerait à se spécialiser dans des activités qu’il peut exercer le mieux.
  • L’Echange des spécialités va procurer une quantité de biens supérieurs à celle qui serait produites si chaque pays essaye de produire tous ce dont il a besoin.

 

II) les avantages Théoriques de la DIT

 

La théorie de la DIT explique que les avantages de la spécialisation sont identiques autant au niveau national qu’international.

- les productions seront échangées à l’extérieur contre les produits étrangers qui présentent plus d’avantages.

Ø Cela veut dire que :

La spécialisation de la production dépend de l’abondance des facteurs de production dont les rémunérations son faibles.

Ø A l’inverse :

Les facteurs de productions peut abondant sont chers sur les marchés et impliquent des prix de production élevés. Dans Ces Conditions, la préférence ira à l’importation de biens à partir de pays qui proposent des prix compétitifs.

 

 

 

 

 

Le 25/02/06

 

Remarque :

Ø DIT= spécialisation dans un domaine de production précis ; c’est en quelque sorte du bon sens ; autrement dit investir dans les secteurs d’activité ou il y a du profit.

ADAMS SMITH qualifie cela de la Main Invisible qui vous mène automatiquement vers le profit et vous éloigne des domaines où il n’y en a pas.

Ø Grâce à la mondialisation un pays qui n’est pas compétitif dans un domaine ou un autre le devient par le biais de l’investissement étrangers.

III) les Limites de la DIT

 

  • La DIT voudrait dire qu’un pays qui se spécialise dans un domaine d’activité le restera indéfiniment.
  • Les pays producteurs de matières premières qui ont un avantage concurrentiel dans le domaine des ressources de la nature sont au regard de la DIT condamnés à exporter des matières premières et à importer des produits manufacturés.
  • La DIT suppose qu’il n’y a pas de transfert de technologie, de capitaux industriels et financiers.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le 25/02/06

 

Chapitre III

I) La Théorie des Avantages Comparatifs

La Théorie des Coûts Comparatifs

Remarque :

La Théorie des Avantages absolus d’ADAM SMITH  «  il y a échange que s’il y a spécialisation dans un domaine bien précis. »

 

Le 04/03/06

Quels sont les avantages que peut procurer un territoire ?

Ce n’est que grâce à cela qu’on peut faire venir de l’investissement.

 

A) théorie d’ADAM SMITH : 1723--1790

Elle indique que chaque pays a intérêt à se spécialiser dans les productions qu’il peut faire avec plus d’efficience (performance).

A partir de ce principe les pays vont échangé les productions dans lesquelles elles sont plus compétitives (efficientes)

 

1er cas de figure :

 

Pays

Biens

A

B

I

50

80

II

60

70

 

Avec 100 unités monétaires :

Le pays I produit 50 unité du biens A et 80 unités du bien B

Le pays II produit 60 unité du biens A et 70 unités du bien B

Donc I est efficient en B et II en A

Cela implique échange et spécialisation dans le produit ou chaque pays est performant.

 

2eme cas de figure

 

Pays

Biens

A

B

I

50

70

II

60

80

Le pays II est efficient dans les deux biens

Ceci implique pas d’échange car spécialisation total

 

  • la Théorie d’ADAM SMITH de la spécialisation n’apporte pas de réponse aux situations ou un pays est moins efficient dans toutes les productions.

La réponse à ce problème est apportée par DAVID RICARDO, grâce à la Théorie des avantages Comparatifs ou la Théorie des Coûts Comparatifs.

 

B) DAVID RICARDO : 1772—1823

Pour l’essentiel, la Théorie indique que dans les situations ou un pays n’est compétitif, la spécialisation peut se réaliser sur la base :

 

  • Avantages Comparatifs le plus élevé
  • Désavantage relatif le plus petit

 

Pays

Biens

A

B

I

50

60

II

80

100

 

  • la pays (A) a un avantage relatif (petit) dans le bien I dons il doit se spécialiser dans I
  • la pays (B a un avantage comparatif (élevé) dans le bien II dons il doit se spécialiser dans II

LA Théorie de DAVID RICARDO indique que la seule situation ou il ne peut pas y avoir d’échange correspond à la situation ou il n’y a pas d’avantage relatif plus élevé et de désavantage plus petit donc =0

Aucun pays ne détient un avantage absolu donc que chacun garde ses productions, mais elle est théorique

 

Remarque :

Même les pays qui ne sont pas performant peuvent ouvrir leurs marchés en produisant des biens ou combien même ils sont performants.

Les fondements de la mondialisation relève de la théorie, une entreprise a besoin d’avantages plus élevés par rapport à son pays avec la délocalisation.

La mondialisation remet en cause les deux (02) théories ; on est compétitif que si on peut attirer de l’investissement étranger.

 

II) Possibilités Théoriques d’Echange International

En terme d’Avantages Comparatifs

On considère deux pays :

- Un pays Domestique (D)

- Un pays Etranger (E)

qui produisent deux biens Bien I &Bien II ; a l’aide d’un seul facteur de production qui est le travail.

* Hypothèses

- pour produire une unité de BI, il faut 7 salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BI, il faut 8 salaries dans le pays (E)

- pour produire une unité de BII, il faut 3salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BII, il faut 10 salaries dans le pays (E)

 

 

 

 

 

 

 

 

P (D)

 

 

P(E)

 

 

B (I)

 

 

7

 

 

8

 

B (II)

3

10

 

 

 

 

 

 

 

 

Questions :

- Quels sont les avantages absolus

 

Solution :

 

1) en terme de coûts

Domaines de spécialisation du pays (D) : selon la théorie d’ADAM SMITH le pays (D) va se spécialisé dans les Biens I & II.

 

2) en terme de productivité

P (D) : productivité = production / facteur de production = 1/7

P (E) : productivité = production / facteur de production = 1/8

Le niveau de productivité dans P (D) est plus élevé donc il va se spécialiser dans le Bien I

 

P (D) : productivité = production / facteur de production = 1/3

P (E) : productivité = production / facteur de production = 1/10

Le niveau de productivité dans P (D) est plus élevé donc il va se spécialiser dans le Bien II

 

3) déterminez les avantages relatifs

Le pays (D) a un avantages absolu dans les deux biens mais son avantage est plus important dans BII, donc il va se spécialisé juste dans le Bien II.

Le pays (E) a un désavantage absolu dans les deux Biens mais son désavantage est plus petit dans le BI, donc il va se spécialiser dans le Bien I

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Avantages de l’Echange International

 

La Théorie de l’echange International fondée sur la spécialisation indique qu’il y a plus de création de richesse dans les situations de libre échange que dans les situations d’autarcie (économie fermée).

Cette création de richesse va profité aux pays qui ont pris partie (participé) à l’échange.

 

Exemple :

 

1er situation

 

 

 

 

 

P (D)

 

 

P(E)

 

 

B (I)

 

 

7

 

 

8

 

B (II)

3

10

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

- pour produire une unité de BI, il faut 6salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BI, il faut 8salaries dans le pays (E)

- pour produire une unité de BII, il faut 10salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BII, il faut 6 salaries dans le pays (E)

 

1) Domaine de spécialisation

- Le pays (D) va se spécialiser dans le Bien I

- Le pays (E) va se spécialiser dans le Bien II

 

La finalité du libre échange est une source de création de richesse.

2) avantage de la spécialisation

Les productions des deux pays en économie cloisonnée

- pays (D) : 1 BI+1BII= 16 salariés

- pays (E) : 1 BI+1BII= 14 salariés

- (D) +(E)= 16+14=30 salariés

 

3) production des deux pays en économie ouverte (spécialisation)

 

  • le pays (D) se spécialisé dans le Bien I et abandonne le Bien II, il va donc disposé de 10 salariés qu’il va affecté à la production du Bien I. ce qui nous donne

1BI+1,6 BI= 2,6 BI avec 16 salariés

  • le pays (E) se spécialisé dans le Bien II et abandonne le Bien I, il va donc disposé de 8 salariés qu’il va affecté à la production du Bien II. ce qui nous donne

1BII+1,3 BII= 2,3 BII avec 14 salariés

 

 

 

 

 

 

 

 

EXERCICE :

 

D

E

I

20

16

II

16

18

 

- pour produire une unité de BI, il faut 20 salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BI, il faut 16 salaries dans le pays (E)

- pour produire une unité de BII, il faut 16 salaries dans le pays (D)

- pour produire une unité de BII, il faut 18 salaries dans le pays (E)

 

QUESTIONS :

1) Expliquez le domaine de spécialisation de (D) &(E)

2) La production des deux pays en économie fermée

3) La production des deux pays en économie ouverte

 

Le 11/03/06

 

1- les domaines de spécialisation des deux pays :

Le pays D va se spécialiser en Bien II

Le pays E va se spécialiser en Bien I

2- en économie Fermée

1 BI +1BII= 36 salariés pour le pays D

1 BI +1BII= 34 salariés pour le pays E

Le total des deux pays

2 BI +2BII= 70 salariés

3- en économie Ouverte

*pour le pays D : se spécialiser dans le Bien II revient à dire que les 20 salariés restant vont être affecter à la production du Bien II donc,20/16=1,25 unité de plus

1U BII+1,25 UBII= 2,25 UBII

*pour le pays E : se spécialiser dans le Bien I revient à dire que les 18 salariés restant vont être affecter à la production du Bien I donc,18/16=1,125 unité de plus

1U BI+1,125 UBI= 2,125 UBI

 

  • production cumulée des deux pays devient

2,25 BI+1,125BII= 4,375 avec les 70 salariés alors qu’en économie fermée les 70 salariés ne produisaient que : 4 unité des deux Biens.

 

donc le Libre Echange profite à l’ensemble des pays qui ont pris part à l’échange.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le PAYS D

Le PAYS E

Se spécialise en BII avec 2,25 UBII

Il va exporter BII pour importer BI.

Supposons qu’il exporte 1UBII vers E ; combien de BI va t-il importé?

- il exporte 1UBII, il importe 1UBI.

Quel est le volume de la production disponible au pays D ?

2,25BII-1UBII (export) +1UBI (import)=2,25 u BI, BII

 

Se spécialise en BI avec 2,125 UBI

Il va exporter BI pour importer B II.

Supposons qu’il exporte 1UBI vers D; combien de BII va t-il importé ?

- il exporte 1UBI, il importe 1UBII.

Quel est le volume de la production disponible au pays E ?

2,125BI-UBI (export) +1UBII (import)=

2,125 u BI, BII

 

 

NB : le pays D en économie fermée produisait 2 unités (BI,BII) et le pays E également

 

C’est le profit d’une richesse économique supplémentaire.

En conclusion :

Le Libre Echange selon la théorie d’ADAM SMITH augmente la production globale des pays dont l’économie est orientée vers le marché. Le Libre Echange indique aussi que les richesses supplémentaires crées vont profité à l’ensemble des pays qui ont pris part à l’échange.

 

 

4) les Termes de l’Echange

 

- supposons deux pays A&B qui produisent deux biens T&C.

- supposons qu’avec 1 000 $, on produit indifféremment les quantités suivantes dans les pays A&B.

 

 

T

C

A

400

500

B

300

600

 

 

a) domaines de spécialisation de A&B sachant qu’avec 1000 $ on produit les quantités ci dessus données

 

(1) A va se spécialisé dans le produit T parce qu’il est plus efficient que B

(2) B va se spécialiser dans le produit C parce qu’il est plus efficient que A

 

b) Termes de l’Echange

*au niveau du pays A

(1) en économie Fermée

 

- 400 unités de T s’échanges contre 500 unités de C

- 4 unités de T s’échanges contre 5 unités de C

- 1 unités de T s’échanges contre 5/4 unités de C

 

(2) en économie ouverte

- 400 unités de T s’échanges contre 600 unités de C

- 4 unités de T s’échanges contre 6 unités de C

- 1 unités de T s’échanges contre 6/4 unités de C

Pour le pays A les termes de l’Echange ce sont améliorés ; puisqu’en économie fermée 1T s’échange contre 5/4 C alors qu’en économie ouverte 1T s’échange contre 6/4 C.

En conclusion 1T qui s’échange contre plus de 5/4 est à l’avantage du pays A.

 

* au niveau du pays B

 

(1) en économie Fermée

 

- 600 unités de T s’échanges contre 300 unités de C

- 6 unités de T s’échanges contre 3 unités de C

- 1 unités de T s’échanges contre 3/6 unités de C

 

(2) en économie ouverte

- 600 unités de T s’échanges contre 400 unités de C

- 6 unités de T s’échanges contre 4 unités de C

- 1 unités de T s’échanges contre 4/6 unités de C

Pour le pays B, le Terme de l’Echange s’est amélioré puisqu’en économie fermée 1 C contre 3/6 T alors qu’en économie ouverte 1 C contre 4/6 T

En conclusion, 1 C s’échange contre plus de 3/6 T est à l’avantage du pays B